Faresin présente ses mélangeuses et son réseau

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Faresin présente ses mélangeuses et son réseau

Les visiteurs ont pu apprécier les capacités des désileuses Faresin pour préparer une ration complète (paille, enrubannage, concentré, ensilage de maïs) et pour se déplacer autour comme sous les bâtiments.

La désileuse automotrice en cuma a ses adeptes. Gros plan sur l’offre de Faresin et ses réponses aux besoins des éleveurs.

La société Faresin et les Ets Lecoq ont organisé deux journées techniques les 1er et 3 mars 2016 à Mortagne au Perche (61) et St Jean des Murgets (28). Le constructeur s’est appuyé sur les témoignages d’Orne Conseil Elevage, de la Chambre d’Agriculture d’Eure-et-Loir et de la fédération des Cuma de Basse Normandie.

Homologuée 40 km/h

Faresin propose trois types de mélangeuses automotrices : Standart, Ecomix, Ecomode. L’objectif est de répondre à la demande du client. «Une cuma partira plus sur une Ecomode homologuée 40km/h sur route, alors qu’un individuel n’aura pas forcément les mêmes besoins» précise Mickaël Lemarchand, responsable commercial du groupe. Lors de la commande, le client peut définir sa machine selon ses besoins, avec plusieurs capacités de cuve (de 11 à 30 m3) et six positions de déchargements possibles. Possibilité aussi d’installer sur la machine le NIR, un analyseur de fourrage instantané pour adapter au mieux sa ration.

L’intérêt de mélanger

Concernant la ration, Olivier Raux, d’Orne Conseil Elevage, a développé les bases d’une ration mélangée et son impact sur l’alimentation des troupeaux (VL, élèves, bovins viande,…). Il a rappelé aussi l’intérêt de l’automotrice, notamment sur sa capacité à peser tous les aliments pour une maîtrise précise de la ration et des stocks de fourrages. L’ensilage du maïs a aussi été abordé, notamment l’importance des longueurs de coupe et l’éclatement des grains.

faresin mélangeuse

Les dimensions de la machine lui permettent d’accéder aux étables.

100 000 l de lait par kilomètre

Au niveau de l’organisation collective pour l’achat d’une désileuse automotrice, Baptiste Foucault, de la fédération des cuma de Basse Normandie, a rappelé les points clés à respecter pour la réussite du groupe, avec par exemple un ratio de 100 000 litres de lait/km pour garder un tarif compétitif. Il s’est appuyé sur la bonne centaine de cuma de désilage en fonctionnement dans l’Ouest pour renseigner les éleveurs présents.

67 points de vente

Mickaël Lemarchand a rappelé l’organisation du groupe Faresin sur le terrain, avec l’appui d’un réseau de concessionnaires pour la vente et le SAV. «Aujourd’hui, nous avons 67 points de vente avec nos concessionnaires. Il est important pour nous d’accompagner les acheteurs après une vente» explique-t-il. L’après-midi, des démonstrations avaient lieu chez des clients des Ets Lecoq. Les éleveurs et cuma intéressés ont pu apprécier les capacités des désileuses Faresin pour préparer une ration complète (paille, enrubannage, concentré, ensilage de maïs) et pour se déplacer dans l’exploitation et sous les bâtiments.