Lancement du Salon aux champs 2019

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Lancement du Salon aux champs 2019

Huit ateliers se croiseront dans les champs de Sévignac (22). Tous se retrouveront au moins sur un point : les nouvelles technologies devront y avoir leur place.

Le réseau des cuma a mobilisé deux cents personnes qui ont initié la construction du prochain salon aux champs. Les 18 et 19 septembre, les professionnels de l’agriculture convaincus par la force du travail en groupe ont rendez-vous en Bretagne avec les nouvelles technologies et tout ce qu’elles peuvent leur apporter.

L’agriculture de l’avenir ne sera pas sans nouvelles technologies. De cette évidence, le président de l’organisation du salon aux champs en tire un sujet transversal de la 21ème édition de ce salon des cuma. « Je serai vigilent à ce qu’aucun atelier ne se construise sans intégrer ce sujet. » Stéphane Nogues, a ainsi accueilli les 200 personnes réunies en Bretagne pour la journée de lancement le 14 novembre.

Un salon de carrefours attendu

Depuis 1995, les Côtes d’Armor attendent d’accueillir l’événement. Ce sera pour les 18 et 19 septembre 2019, dans le secteur de Broons, à cheval sur les territoires de Lamballe terre et mer et Dinan communauté. Ici, « l’agriculture et les cuma sont dynamiques », précise le représentant du gaec Pevar Den qui sera l’hôte de l’édition 2019. Pour les habitués du salon, la date a de quoi surprendre. L’organisation a choisi de repousser son calendrier de quelques semaines (la précédente édition avait lieu les derniers jours d’août).

Quelques bénéfices sont à attendre de cette programmation, pour ne citer que la participation possible du public ‘étudiants’ ou la cohérence vis-à-vis des dates habituelles d’ensilage de maïs dans le secteur. A cette date, l’atelier maïs fourrage pourrait bien coller parfaitement avec l’actualité locale et proposer des démonstrations avec un support au stade optimal. Une aubaine pour parler de la qualité du maïs fourrager ,« un thème fort cette année », présente Michel Seznec (référent maïs fourrager du réseau cuma) qui a bien entendu la consigne du président : « Nous devrons parler des machines, de leurs équipements dont les nouvelles technologies, et analyser ce qu’elles apportent à la qualité du fourrage. » Dans le département, ¼ des récoltes se fait en surmaturité rappelle l’expert pour justifier le choix de ce sujet. Pour cet atelier, comme pour les autres, le détail n’est encore qu’en cours d’élaboration. Ce qui est en revanche d’ores et déjà acquis, c’est que l’espace mis à disposition par le gaec costarmoricain se divisera en 8 ateliers que nous dévoilerons au fil des prochaines semaines sur entraid.com.

Retrouvez le site du Salon aux champs