Sinon, pour le désherbage, il y a l’huile de coude

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Sinon, pour le désherbage, il y a l’huile de coude

Le petit joystick permet de diriger l'engin.

Plutôt que se briser le dos, il est possible de travailler couché quand il s’agit de désherber à la main des cultures basses. Focus sur le Glider 500 de Terrateck.

Les cultures spécialisées demandent parfois un désherbage manuel. Soit les adventices sont hors de portée des outils soit la chimie n’est pas possible. Pour le réaliser dans les meilleures conditions de confort, il existe des chariots avec position couchée. Des bed weeders, ou lits de désherbage. Comme le Terrateck Glider 500.

Terrateck Glider 500 : environ 6 h d’autonomie

C’est précisément un «équipement d’aide au travail permettant de porter des personnes en position ergonomique pour des opérations de désherbage manuel et de plantation», comme le dit si bien le constructeur. Offrant 1 ou 2 places, le Glider bénéficie d’une autonomie de 6 h en moyenne. Ses batteries en 24V se rechargent en 2 à 4 h. Ses moteurs de 500 W le propulsent à 2 km/h maxi. Côté confort, Terrateck a développé une couchette ergonomique sur laquelle l’opérateur ou l’opératrice n’appuie le haut du corps qu’au niveau du front et des épaules, sans pression sur la poitrine.

Terrateck Glider 500 lit de désherbage

Une couchette ergonomique pour le confort de travail.

D’autres méthodes peu courantes de désherbage :

L’arracheuse Klunder.

Electrocuter les adventices.

Tamiser les racines de chiendent et autres mauvaises herbes.