Des échanges structurants, autour d’activités phares des Cuma, qui attendent un coup de pouce des pouvoirs publics. Pour que les actions collectives ne soit pas les éternelles « laissées pour compte ».
Vidéo : voir le discours de Stéphane le Foll en intégralité.
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Joseph Chabin, président de Aile, a rappelé l’engagement des Cuma dans les énergies renouvelables, de l’exploitation de la biomasse bocagère au biogaz produit collectivement. « Les Cuma ont su mettre en place des circuits courts qui valorisent énergétiquement le bois bocager. Nous attendons un appui des collectivités pour encourager nos filières collectives et les agriculteurs à maintenir les haies ». |
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Alain Cruchet, administrateur Aile, a présenté le développement de la filière bois énergie dans la Sarthe |
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Pour Laurent Taupin, sarthois et président de la toute récente UNIMAC , Union des Methaniseurs agricoles, collectifs et territoriaux : « les projets collectifs permettent à ceux qui n’en n’aurait pas les moyens de se lancer dans la méthanisation et présentent un réel intérêt territorial : ils doivent pouvoir bénéficier des mêmes conditions que les installations individuelles ».Le ministre a promis une rencontre fin septembre |
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Annie Gachelin, présidente de la Fédération Cuma de Basse-Normandie a rappelé l’engagement des Cuma dans la transformation et la commercialisation collective en circuit court et leur volonté d’approvisionner la restauration publique locale. « Structurons cette production locale, a proposé le Ministre, car il faut être capable d’approvisionner en qualité dans la durée, un défi difficile». |
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Face à la difficile maitrise des charges de mécanisation en France, Christophe Perraud, secrétaire général adjoint de la Fncuma a interpellé le ministre sur le suramortissement, le plan d’urgence et le CICE, pour que ne subsiste plus de distorsion entre l’individuel et le collectif. Sur les deux premiers points, le ministre s’est engagé à trouver une solution. |
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Devant la fosse pédologique, six producteurs de l’ouest, du sud-ouest et du nord de la France ont tour à tour communiqué leur expérience en matière de transition écologique des modes de production agricole dans le cadre d’un GIEE. « Depuis longtemps, on sait amener l’agriculteur a repenser ses pratiques » a insisté Stéphane Gérard, le président de la Fncuma. Il a évoqué la vingtaine de projets déposés par des cuma dans le cadre des GIEE , et les dix-huit déjà reconnus comme tels. Le ministre a proposé à la Fncuma une rencontre fin septembre sur les GIEE. |
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