Après la pluie, les semis. Mécasol ouvre ses portes le 21 septembre. La billetterie est ouverte (entrée gratuite sur inscription). Et à un environ un mois de l’événement, la préparation du champ bat son plein. Les précipitations bienvenues ont en effet permis la mise en place des couverts et du colza, pur ou associé. «Nous présenterons un panel de techniques large, entre du semis direct, ou en TCS, avec un labour ou encore du strip-till…», explique Augustin Fouillet. L’animateur de l’Union des cuma en Vendée prépare un atelier technique sur la question. Il se basera sur la plateforme d’essais semé en août. L’animateur précise déjà que le coût de l’implantation varie assez vite «du simple au double.»
18 modalités de semis du colza et des couverts
Dans les temps forts du Mécasol, avant le forum-débat à propos de l’adaptation au changement climatique, les démonstrations réunissent un plateau également très fourni. Entre les semoirs (TCS et semis direct) le matin et les outils de travail du sol l’après-midi, quasiment une trentaine de matériels animeront la journée technique.
Plusieurs cuma du secteur s’impliquent dans l’organisation du Mécasol, dont la cuma des Moulins du Lay. Celle-ci proposera aussi une visite de son site tout proche du salon (© Marie Vrignaud).
Les cumistes se mobilisent
Les bénévoles, adhérents des cuma locales, sont nombreux à se mobiliser pour l’accueil du public à Saint-Martin-des-Noyers, et à témoigner de leurs expériences techniques. Ils ont déjà érigé les totems qui bordent les routes vendéennes. Après la pose d’une nouvelle pile de paille le long de la 4 voies entre La Roche-sur-Yon et Montaigu, les six affiches sont en place.
Les affiches du Mécasol bordent les routes vendéennes depuis le début de l’été.
La sixième affiche a été posée dans le secteur de de l’Herbergement (© Yvon Guittet).
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