[Exclu abonnés] Ce qu’il ne fallait pas manquer cette semaine dans l’agriculture

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[Exclu abonnés] Ce qu’il ne fallait pas manquer cette semaine dans l’agriculture

Retrouvez l'actualité et les innovations en cuma en décembre 2025. (©Entraid)

Cette semaine du 15 décembre 2025, nous vous proposons de partir à la rencontre de la star des cuma, la cuma de Grandrieu en Lozère. Elle compte  150 adhérents. Une méga cuma ? Retrouvez aussi l'essentiel de l'actu des réseaux.

SOMMAIRE

Ce mois-ci, l’actualité et les innovations issues du réseau des cuma est très dense et couvre l’ensemble des secteurs.

Le Pellenc : un accélérateur d’innovation

robot pellenc

Dans la Sarthe, la cuma des Vignerons a testé le robot spécialisé de Pellenc qui arrive sur le marché. Objectif : analyser la faisabilité de son usage en cuma.

Après arpentage des vignes, le robot a travaillé dans cinq parcelles et testé plusieurs outils. Essai très concluant au niveau de la qualité du travail, malgré une petite glissade dans un dévers.

La cuma ne s’interdit pas de l’acquérir, glisse Pierre Pichet dans son article.

Une aventure à haute valeur ajoutée

culture noix bio

Dans la Meuse, émerge une filière noix bio, « une aventure collective à haute valeur ajoutée », écrit Rachel Laurent-Boutte.​

Un projet de filière qui « ne se résume pas à une simple diversification « , écrit-elle encore : « Les producteurs mutualisent leurs savoirs et leurs outils, mais également leurs réflexions sur les débouchés et la transformation ».

Séchez jeunesse

séchoir collectif de la cuma de Pollionnay
Des étudiants de l’institut Agro Rennes-Angers sont venus visiter le séchoir collectif de la cuma de Pollionnay, dans le Rhône.

Beau voyage pour celles et ceux qui creusent la question de l’adaptation de la filière caprine au changement climatique.  Le séchoir permet aux adhérents d’obtenir des fourrages qualitatifs, améliorant leur autonomie, écrit Florent Sanchez.

On en est sur-semis…

sols plus fertiles en bio actualité et innovations cuma
Des sols plus fertiles en bio : les adhérents de la cuma gersoise de la Belmontaise y travaillent.

​Après avoir testé des couverts d’été trop aléatoires, ils sont tournés vers le sursemis, en mars, à un stade précis d’une céréale, « avec semis à la volée suivie d’un passage de herse étrille ou de houe rotative », décrit Florent Georges, qui suit le projet de près.

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