Pour les élèves agricoles, la cuma, c’est bon pour les coûts

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Pour les élèves agricoles, la cuma, c’est bon pour les coûts

La fdcuma de Haute-Vienne met l’accent sur l’accueil des jeunes dans les groupes. Elle a sollicité des élèves du lycée agricole agricole des Vaseix pour enquêter sur ce sujet.

Cinq étudiants en BTS ont enquêté auprès d'élèves du lycée agricole des Vaseix, en Haute-Vienne, pour évaluer leurs visions des cuma.

Dans le cadre d’un projet pédagogique «PIC» (Projet d’Initiative et de Communication) qui entre dans le parcours de formation, cinq étudiants en formation BTS productions animales du lycée agricole des Vaseix en lien avec la fdcuma de Haute-Vienne, ont étudié la facilité d’intégration des jeunes générations dans les groupes. Ce projet a donné lieu à une analyse des principes de fonctionnement des cuma. Puis à des interviews de responsables de cuma, ainsi que de jeunes adhérents. Enfin, les étudiants ont mené l’enquête auprès d’autres élèves du même lycée agricole, pour évaluer leurs points de vue sur les cuma. Avec trois questions clés: les avantages à l’adhésion, les freins, et les services jugés les plus utiles.

Quels avantages à être en cuma?

Globalement, toutes les propositions de réponses pour cette question trouvent écho auprès des jeunes enquêtés. L’avantage le plus souvent cité est la réduction des coûts de mécanisation.

Quels freins à l’adhésion?

Le plus grand frein évoqué par les jeunes est la disponibilité du matériel. Autres griefs: l’entente entre adhérents et l’entretien du matériel.

Quels services sont les plus utiles?

La réalisation des récoltes est la réponse la plus souvent donnée. Citons aussi les échanges entre voisins, les travaux d’entretien, de travail du sol… En réalité, tous les services sont jugés utiles, même si la fenaison apparaît comme une activité moins plébiscitée en cuma.

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