L’idée est de n’avoir qu’à débarrasser le bidon du bouchon, en laissant l’opercule, et de le mettre en place dans l’appareil. On referme la porte. Et là, en milieu confiné, le produit est transféré vers la cuve du pulvérisateur, puis le bidon rincé. L’opérateur ouvre ensuite la porte et récupère un bidon rincé et égoutté.
Eviter les règles inapplicables
En travaillant ainsi à améliorer la sécurité, Michael Horsch cherche également à devancer le législateur. « Nous savons que la législation sera de plus en plus sévère. Il vaut mieux proposer des solutions efficaces et réalistes plutôt que de se voir imposer des règles inapplicables », dit-il en substance. Il réfléchit également à des processus facilitant la tâches des opérateurs et assurant en même temps la traçabilité des opérations (par codes barres). Un tel équipement aura forcément un prix. Il pourrait être situé directement chez le fournisseur de produits ou au sein d’une plateforme phyto en cuma. A suivre…
Nos photos : on met en place le bidon puis tout se passe en milieu confiné.
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