«Le fourrage n’est pas fouetté, il ne prend pas de gifle. L’andaineur à peignes s’inscrit dans la continuité de notre chaine de fenaison, qui comprend en amont une faucheuse à plat pour ménager les luzernes et autres mélanges suisses», résume Alain Barbut, de la cuma du Causse en Lozère.
Reprenant l’ancien principe des râteaux faneurs, l’andaineur de la cuma se compose non pas de deux, mais de trois éléments. Les deux premiers forment l’
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