Que pensent les utilisateurs de la charrue Grégoire Besson Rover 60 ?

La charrue Grégoire Besson Rover 60 suscite la satisfaction des utilisateurs. En complément de l’enquête sur son coût de détention, découvrez les avis des utilisateurs de la charrue Grégoire Besson Rover 60.

Avis utilisateurs de la charrue Grégoire Besson Rover 60 : les points forts

Les responsables de cuma interrogés sur leur charrue Grégoire Besson Rover 60 se disent globalement satisfaits de la machine. La note moyenne obtenue s’élève ainsi à 15,6 sur 20. Premier point fort de la charrue Grégoire Besson Rover 60 : la qualité du travail. Dans une cuma équipée avec des versoirs cylindriques courts, « le sol est bien éclaté, facile à reprendre ensuite pour semer ». Mais ce choix de versoir se raisonne bien sûr selon les sols et les itinéraires. Le constructeur propose ainsi pas moins d’une dizaine de variantes.

En alternative au non-stop hydraulique, des boulons de sécurité.

Les réglages s’avèrent simples à réaliser. « Dans notre cuma, la charrue reste toujours sur le même tracteur, indique un responsable, on change très peu les réglages, sauf la profondeur. » La largeur de travail fait aussi partie des paramètres qui se modifient, souvent en fonction de la facilité de traction. Mais avec l’hydraulique, c’est aisé. Pour l’aplomb, les clients peuvent choisir entre un vérin hydraulique et un système de cales. Même alternative entre hydraulique et mécanique pour la roue de jauge, d’ailleurs.

L’amortisseur s’exprime bien.

Un bon tiers de nos interlocuteurs ont opté pour un corps de labour à barre, spécifique à la marque Grégoire Besson. « Nos sols usent beaucoup, on avance donc la barre au fur et à mesure. » Le constructeur préconise pour sa part cette solution dans les sols « qui ont tendance à se compacter, ou les pâturages ».

Point faible : le nombre de graisseurs

L’aspect le moins bien noté sur cette charrue Rover en version largeur variable s’avère le nombre de graisseurs, plus de 50 nous disent les utilisateurs. Même s’ils sont en grande majorité très visibles et accessibles. Autre remarque relevée dans une seule cuma : la difficulté pour la roue à se remettre en place après le retournement.

Prendre le temps de tous les passer en revue.

Signalons pour terminer différentes options qui restent au choix du client sur cette charrue Rover 60. En alternative à la sécurité non-stop, deux versions de sécurité à boulon se présentent (sols moyens et sols légers).

Une roue qui a parfois du mal à se remettre en place au retournement.

D’autre part, on compte dix modèles de roue : terrage, terrage et transport, double, avec réglage mécanique ou hydraulique, etc. Pour les tracteurs mal dotés en hydraulique, Grégoire Besson a d’autre part prévu des sélecteurs électriques, pour 2, 3 ou 4 fonctions. L’entre-corps fait aussi partie des critères à déterminer : 90 ou 100 cm. Ce dernier, ajouté à tous les choix d’options, change le poids de la charrue et la position du centre de gravité. Un élément important à considérer quand le tracteur envisagé a bien la capacité de traction voulue mais se trouve limité en force de relevage.

Note des utilisateurs de la charrue Grégoire Besson Rover 60

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