Remplacer le moteur d’un valet de ferme : une opération sans accroc pour Philippe Jargot

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Remplacer le moteur d’un valet de ferme : une opération sans accroc pour Philippe Jargot

Le moteur redonne de la vie et de la valeur à la machine.

Il est bien pratique ce petit tracteur. Mais sur un vieux modèle, une panne peut vite tourner au casse-tête ! Philippe Jargot n’a pas connu ce problème : l’agriculteur a fait appel à Alberto Motors pour rempla-cer le moteur de son valet de ferme, dont la culasse avait fendu.

Paul Varlet, Alberto Motors : Comment entretenez-vous votre parc matériel ?

Philippe Jargot, agriculteur en Isère : Nous avons quatre tracteurs, deux télescopiques, un chargeur et un valet de ferme. Ce dernier est un Strigiel de 1990. Il est petit, et c’est le seul engin à pouvoir rouler partout dans mes bâtiments. Il n’y a que celui-ci dont je m’occupe moi-même. Les autres machines sont en leasing et le tarif mensuel comprend l’entretien. Les techniciens viennent sur place faire des diagnostics électroniques sur les machines et effectuer la maintenance.

Paul Varlet : Quand la culasse de votre valet de ferme a fendu, quelles solutions avez-vous envisagées ?

Philippe Jargot : Je me sers de ce valet de ferme tous les jours. Sa petite taille est très pratique, il nous fait gagner beaucoup de temps. Avec mon frère, nous avons directement pensé à changer le moteur, car un valet neuf coûte cher et la machine était encore en bon état. Cette solution était moins chère et lui redonnait de la valeur, au cas où nous aurions voulu le vendre en occasion plus tard.

Paul Varlet : Pourquoi avoir choisi Alberto Motors ?

Philippe Jargot : J’ai d’abord contacté le fabricant, Strigiel, qui n’avait pas de solution, le valet ayant plus de vingt ans. J’ai donc tapé la référence du moteur sur internet, ce qui m’a mené directement à votre site. J’ai appelé, on m’a répondu tout de suite. C’est agréable quand on préfère comme moi échanger de vive voix pour avoir rapidement des renseignements. Du coup, je n’ai même pas regardé les autres sites d’occasions. Le contact a été tellement bon que j’étais en pleine confiance.

Paul Varlet : Comment s’est passé votre expérience avec notre entreprise ?

Philippe Jargot : Pour ma part, très content sur toute la ligne ! De mon coup de fil à l’échange standard, il s’est passé seulement deux mois. Le moteur m’a été garanti trois mois. A l’époque l’extension de garantie n’était pas une option possible, mais elle aurait pu m’intéresser, tout comme le paiement en 10 fois. En tout cas le service après-vente est très efficace. J’ai récemment dû changer une pièce : l’équipe du SAV a retrouvé des photos de l’ancien moteur, que je leur avais communiquées, ce qui m’a permis de commander la bonne référence.

Pour plus d’informations :


L’exploitation de Philippe Jargot est située à Anthon, à la limite de l’Isère et du Rhône. « J’ai longtemps été éleveur laitier, mais je travaillais beaucoup pour trop peu de rémunération. J’ai arrêté le lait en 2013 pour me lancer dans le compostage, puis l’engraissement de bovins viande comme activité principale. C’est un atelier où il y a entre 500 et 600 bêtes. Je travaille avec mon frère pour l’élevage plus un salarié sur la partie compostage. »