Autonomie protéique contre idées reçues

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Autonomie protéique contre idées reçues

Cultiver des légumineuses fourragères et des protéagineux, en cultures pures ou associées, est un levier pour améliorer sa résilience.

La meilleure façon de réduire sa sensibilité au prix de ses intrants est de ne plus en dépendre. Or améliorer son niveau d’autonomie n’est pas toujours aussi difficile qu’il n’y paraît. Un travail collectif répond à quelques idées reçues.

La voie de la résilience inspire un nombre d’agriculteurs toujours plus grand. Les aléas climatiques et la volatilité économique génèrent un contexte difficile. Il fragilise particulièrement les systèmes productifs, entièrement dépendants d’achats d’intrants dont les prix varient. De plus en plus d’agriculteurs s’organisent pour que leur système gagne en autonomie et donc en résilience. La forte dépendance aux importations de protéines végétales pose notamment de nombreuses inter...