Renouvellement des deux ensileuses à la cuma du Ségala, en Aveyron

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Renouvellement des deux ensileuses à la cuma du Ségala, en Aveyron

Afin d’assurer un service de qualité auprès de ses adhérents, la cuma du Ségala a renouvelé ses deux machines fin 2022.

Pour organiser des chantiers efficaces, la cuma du Ségala assure le service ensilage 2023 avec deux nouvelles machines.

La cuma du Ségala a accueilli deux ensileuses cette année. Cette cuma, créée en 1979, a pendant des années travaillé avec la cuma du Carladez (dans le Nord Aveyron) afin de mieux rentabiliser ses ensileuses. En effet, une machine du Ségala « montait » dans le nord du département. Mais avec le décalage de dates de récolte, depuis plusieurs années, les deux cuma organisent leurs chantiers indépendamment. La cuma du Ségala regroupe 35 adhérents qui rayonnent sur les communes de Gramond, Moyrazès, Baraqueville, Boussac, Colombiès, Manhac, Camboulazet, Quins et Sauveterre-de-Rouergue.

Deux ensileuses Claas Jaguar à la cuma du Ségala

Afin d’assurer un service de qualité auprès de ses adhérents, la cuma a renouvelé ses deux machines fin 2022. Elle a donc acquis deux ensileuses Claas Jaguar. Elles sont équipées de deux pick-up de 5 mètres repliables. Mais aussi d’un Bec Orbis 6 rangs et 8 rangs.

Objectif? Gagner en efficacité et en rendement de chantier. Mais surtout répondre aux besoins des adhérents, comme le souligne Frédéric Valière, le trésorier de la cuma.

L’organisation

L’organisation du service est gérée par un responsable, Pierre Rigal, président de cuma, avec l’appui de salariés. La conduite du service est quant à elle assurée par des salariés de cuma.

La cuma du Ségala adhère à la cuma de Baraqueville pour l’activité salarié (4 ETP). Elle embauche également, pour la deuxième machine, des salariés en Tesa.

Deux ensileuses… mais aussi six bennes

De plus, comme le précisent les responsables, la qualité du service dépend aussi du fait que la cuma a investi, depuis la création de l’activité ensilage, dans des bennes.

En effet, les six bennes suivent les ensileuses. Elles peuvent également être menées par les salariés de la cuma de Baraqueville, si cela est nécessaire. Ce qui permet de répondre au manque de main-d’œuvre qui peut pénaliser les agriculteurs et leurs exploitations.

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